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Rallye de la Cure

26 et 27 septembre 2009

Par Vincent D

La corde, le kayak et le câble

- Vincent : Salut Vincent, c'est Vincent. On rentre de la Cure, on est sur la route.
- Vincent : Si tard ! Alors, ça c'est bien passé ?
- Vincent (ton gêné) : Faut qu'on te dise, on a dû racheter une nouvelle corde de sécu parce qu'on l'avait oubliée. Et puis, euh...
- Vincent : Bon ben ça c'est pas grave, il en fallait une autre. Et c'est quoi l'autre nouvelle ? (ton inquiet)
- Vincent (toujours un ton gêné) : Voilà, on ne revient pas avec le même nombre de kayaks, ni le même nombre de casques...
- Vincent (fâché et inquiet) : C'est quoi cette histoire ? Qu'est-ce qu'est arrivé ?
- Vincent (faussement rassurant) : Non, non, je te rassure, les enfants vont bien...
- Vincent (encore plus fâché) : Bon, si c'est une plaisanterie, il faut le dire !
- Vincent (ton neutre) : Ben oui, pas le même nombre de kayaks...

Retour au début :

Premier épisode, l'oubli de la corde de sécurité, fortement recommandée pour assurer les kayakistes moyens que nous sommes dans les passages exposés, comme La Duchesse par exemple. Eh oui, le responsable de la sortie - appelons-le Maurice pour préserver sa dignité - a bel et bien oublié d'emmener le précieux accessoire. Bien entendu, aucun des autres partenaires, tous considérés comme «  débrouillés » voire plus, n'a songé un seul instant à s'en inquiéter auprès de Maurice. Rendons-lui justice, c'est tout de même lui qui, juste avant le départ sur l'eau, s'en est suffisamment soucié pour se précipiter vers le premier marchand présent sur les lieux. Le moteur de sa camionnette encore chaud, le quidam-marchand a déjà empoché les 40 euros de l'indispensable élément. Plus 60 euros pour le coupe-vent du jeune Rémi, que son propre papa - on taira aussi son nom, bien entendu - n'avait «  pas encore eu le temps de lui acheter  ». Les affaires marchent sur le rallye...

Départ donc, sur le tronçon Montal - Vieux Dun. Rémi, qui ne connaissait que les rivières en béton de l'Essonne constate que dans la vraie rivière, les cailloux et les vagues sont nettement plus nombreux et surtout moins bien rangés : «  mais c'est beaucoup plus dur que Corbeil !  ».

Après une descente finalement sans histoire, arrive le passage de la Duchesse. On s'arrête tous au stop confortable que tout le monde connaît 100 mètres en amont. Et puis le doute s'installe. Un kayakiste - dont on taira le nom - pourtant archi-vétéran de la Cure depuis des lustres tombe d'accord avec Maurice : «  le vrai stop est plus loin, on y va !  ». Résultat : on a tous sauté la Duchesse à la hussarde et sans aucun préliminaire ! Pas de reconnaissance et bien sûr aucune sécurité, plouf, plouf, plouf, plouf, plouf et plouf, tout le monde est passé sans avoir eu le temps de dire ouf. Non, non, il n'y a pas eu un seul bain.

Toutes ces émotions ont eu raison des plus jeunes : Yago et Rémi termineront la journée par une bonne sieste dans la voiture. Le tronçon Vieux Dun - Ménéfrier est avalé dans un éclair à la remorque du BAC, sur le mode tout droit.

Le lendemain, nous démarrons le rallye par le passage le plus difficile : le plat d'avant la Truite. A preuve, les plus chevronnés d'entre nous, Maurice et le vétéran, se sont vautrés sur de minuscules cisaillements. Ecœuré, Maurice abandonne La Truite et propose aux enfants une nouvelle activité pédagogique : le portage sur 2 km.

Les trois autres descendent la Truite sans complexe ; et pour cause, il y a beaucoup de monde sur la Truite, avec des moniteurs postés aux endroits clés. C'est ça le bon coté du rallye, coté sécu, c'est du sérieux. On se retrouve donc tous après la Truite - faciiiile, pas un seul bain - pour la suite du programme, et de nouveau la Duchesse. Cette fois, on respecte la dame et on part en reconnaissance... pour constater que les organisateurs du rallye avaient déjà installé la sécu : inutile la corde, et pour la deuxième fois ! Sylvain fera tout de même semblant de la sortir, histoire de la mouiller un peu.

Brève collation au Vieux-Dun, puis tout le monde, jeunes compris, attaque le dernier tronçon vers les Ménéfrier avec une motivation inédite, arriver à temps pour la distribution des prix. Après une nouvelle descente-éclair façon BAC et sans un bain, l'ASK établit un record sans doute imbattable, le chargement des bateaux en un quart d'heure, sans même avoir besoin d'y revenir jusqu'à Paris. Dommage, nos concurrents n'étaient pas là.

Et le kayak, dans tout ça ?

Suite de la conversation entre Vincent et Vincent dans la voiture au retour :

- Vincent (hilare) : Pas le même nombre de kayaks, ça ne veut pas forcément dire un kayak en moins...
- Vincent (hilare aussi) : J'ai compris !

Bilan : un kayak, un casque et un coffret pédagogique environnement de plus pour le club ! Tous ça parce que, pour une fois, on est arrivé dans les temps pour le rallye. Belle journée ! (En plus il a fait beau tout le temps.)

Reste le câble, pour le dessert. Après la descente d'anthologie, on prend le seul repas de la journée sur le pont près du saut du Gouloux. Forcément arrosé le repas, c'est compréhensible, non ? Maurice commence même à déstresser, trop tôt sans doute. Après une manœuvre un peu trop hardie sur l'accotement, il plante son véhicule perso. Résultat : une roue arrière presque dans le vide et l'autre qui patine. Non, non, nous ne paniquons pas. Emmanuel trouve instantanément la solution : tracter le naufragé avec son camion. D'abord garer le véhicule, ensuite détacher vite fait la remorque, l'ASK s'active. C'est fait, sauf que...

Sauf que le terrain était en pente, que la remorque descend et que le câble électrique était resté branché. C'est fini maintenant. Six fils arrachés pour sept broches, les matheux du groupe gambergent... Ça fait 720 combinaisons, à tester avant la nuit. Emmanuel tranche : on fait un branchement au hasard et on y va...

Le hasard faisant moyennement les choses, on se retrouve avec un mode d'éclairage assez improbable : un clignotant sur un antibrouillard qui clignote un peu mais pas trop et pas tout seul. Heureusement, les lumières de la voiture d'Emmanuel sont visibles de l'arrière. La voiture de Maurice - facilement dégagée en fin de compte - en sera quitte pour suivre l'étrange attelage sur tout le trajet.

Le dernier mot pour Rémi (privilège du papa-rédacteur) : «  C'est la meilleure sortie que j'aie jamais faite !  »

VincenD

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Raid nocturne à la Gillou en forêt de Meudon

4 juin 2009

Par Vincent D. Le trajet

Non, une virée à pied dans les bois ne mérite pas forcément d'être publiée. Mais là, il y avait vraiment matière. Ce soir-là, Gilles, Christophe, Philippe, Denis et moi-même (Vincent D.) nous retrouvons au pied de la tour hertzienne, dans la forêt de Meudon. Vincent B n'était pas là pour chipoter sur la petite côte de la fin, Christophe a passé la semaine à nous provoquer par mails - « je vous écrabouillerai tous » - on aurait dû se méfier. Les plus prudents ont apporté leurs lampes frontales et pourtant, seul Gilles savait...

Départ bon enfant, on bavarde et, signe que les tensions retombent dans le club, on ne parle des sujets qui fâchent (serrure du local, couleur de la remorque...) que du km 3 au km 6 (environ, je n'ai pas vérifié).

Premier arrêt dans une clairière : c'est par où ? Gilles et son plan prétendent que c'est à droite, le GR qu'on suit depuis le début affirme que c'est tout droit et le soleil qui se couche habituellement à l'ouest a peut-être changé d'avis ce soir-là. Donc on continue mais ça chiffonne quand même Gillou : il faut descendre. Qu'à cela ne tienne, on file, bille en tête et ronces en jambes, droit vers le bas de la côte. Une route ; un chemin barré ; un chantier ; une nouvelle côte et ça repart.

Zut, faut passer l'A86. Le courant de voitures est trop fort, ce n'est pas raisonnable, on va contourner par l'échangeur. Il y a mieux comme paysage.

Retour dans les bois par une méchante côte. On a encore en tête les mails de Christophe, ça va chauffer, départ en sprint pleine pente. Denis médaille d'or, Philippe l'argent, Vincent le bronze et tant pis pour les non médaillés.

Suite à travers bois, il commence à faire nuit et les doutes s'installent : on va plein sud, la tour est plein nord, ce n'est pas logique, Gillou sait-il vraiment lire une carte ? La révolte qui gronde finit par éclater au point le plus éloigné, à perpèt' de la tour. Gillou a dit 15 km, et si c'était 15 miles ? Et lui qui nous dit « ça va bien se terminer ». Oui mais quand ? quel jour ? Enfin, il se décide à vendre la mèche : sa voiture nous attend quelque part. Ça c'est de la cachotterie grand luxe. Le moral remonte, le rythme s'accélère, on traverse une zone de pavillons grand luxe eux aussi, nous suggérons à Philippe de revendre sa nouvelle maison.

Oui mais ça repart dans la forêt, noire avec ou sans frontale. Pas grave, on sait que la voiture n'est pas loin. On atterrit à une sorte de carrefour à deux pas d'une zone industrielle. C'est par où ? deuxième version, moins détendue. Au bout de la ligne droite qui longe l'aérodrome de Villacoublay, à peine 1km, qu'il nous dit. Et moi je me souviens que la dernière fois où je suis passé par là, il y avait un camp de gitans. On guette dans la nuit les bruits de guitares qui fêtent la nouvelle acquisition.

Mais non, la voiture était bien là à nous attendre deux heures et demie après notre départ. J'ai vérifié sur la carte : on a longé la route sur presque 3 km entre voitures et barbelés. La tour, elle, était à 4 km en traversant Vélizy. Bonne idée la voiture : on a économisé 1km sur les 19 parcourus !

Le mot de la fin pour Christophe sur le portable de Gilles  : « t'inquiète pas, chérie, si je suis un peu en retard ce soir ».

Vincent D.

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L'Allier

21 et 24 mai 2009

Par Pierre Photos  

Le Christophe dont on parle ici est l'ancien moniteur du club, retrouvé pour l'occasion.

Cliquer pour agrandir l'image.

On part à l'heure, pas de clé manquante, de porte bloquée, (pas encore) de retardataires ; bon, y'en a bien qui se disputent le même bateau, mais rien que du classique ! On verra là bas.

Notre vaillante auto peine à pleine charge : on est 5 dedans, plus une remorque bien chargée, mais route sans soucis malgré de vraies routes de montagne avant Pont d'Alleyras ; arrivée et installation au village vacances, superbe.

On a le temps alors de faire un petit tour sur l'eau d'au moins... 612 mètres de distance (mais d' une heure et demie d'exercices), et de tester nos esquifs.

Vendredi départ de Chapeauroux de bonne heure et on est prêts à... 13h, juste le temps à nos deux irréductibles de se disputer le même playboat. Purée, les navettes, ici ! : 18 km de rivière, 63 de route.

Donc Christophe (notre ancien président-moniteur) en tête, Rémi avec les enfants de Christophe sur le “paquebot”; Claire, Florian (l'aîné de Christophe et Claire) ; Vincent, Sylvain ;  Léonard, qui reprend juste après une fracture et veut tout casser ; Jérôme et Pierre.

Paysage SOMPTUEUX, rivière claire, vive, avec alternance régulière de plats, (petits) rapides, drossages...

On bosse dans les contres, sur les passages tumultueux, bacs, stops, reprises et quelques petites chutes : y'a plein de cailloux et on est déséquilibré facilement !!! Si si, je vous assure.

Au-dessus de nous, montagne, forêt, roches grandioses, et la voie ferrée avec tunnels, viaducs et les trains touristiques qui nous saluent d'un grand coup de klaxon.

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On s'arrête pour un petit goûter, pour changer de montures, se disputer un autre bateau, et on arrive juste pour le repas, fort copieux, pour kayakistes heureux. Léo a un peu mal au bras mais a réussi des esquimautages dans l'eau vive, Vincent prudent a bien regardé les autres et ne s'est même pas “croûté”, Rémi a assuré avec les enfants, Florian a passé la plupart des difficultés “tranquille”, Sylvain a testé plein de kayaks, Jéjé a bien joué, Pierre a testé le vidage de tous les kayaks. On a essayé le Moonster : bien apprécié de tous.

Samedi, on rejoint le CKG pour la partie III-IV de la rivière : les gorges de l'Allier. Vincent et Pierre se dévouent pour rester avec les enfants et préparer le repas des cracks.

Vers 14 h ils arrivent enfin, avec un superbe : « penché, tombera ? tombera pas ? tombera ! » de Jérôme (le seul du week-end, le traître, mais devant tout le monde, ça réconforte). Et il paraît que même notre moniteur a baigné aussi...

Allez, encore quelques kilomètres sur la suite de la rivière, plus conforme à la partie d'hier. Rémi refait les gorges avec ceux de Genevilliers, Léonard repose son bras douloureux, donc pas de dispute (ça nous manque) et Vincent se sacrifie pour nous reprendre avec la voiture.

Nous décidons d'arrêter après 6 ou 7 km, et on fait bien car il nous faut 2h30 entre navettes et retour, un peu en retard pour la soupe ; on se fait discrets, sauf le soir, pour certains joueurs.

Fait bien chaud pour le retour, Rémi a loupé son train, les Vendéens ont un peu rallongé leur trajet ; et nous, nous arrivons en même temps qu'Aleksandra et Marek, de retour de la sortie mer dans le Morbihan (avec le comité régional et Denis). Y'a juste une clé bloquée sur la serrure, tradition oblige.

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Pour tous, on vous conseille cette superbe région, la rivière, la montagne : tout est magnifique.

On peut louer des canoës, faire du raft, du hot dog, de la grimpe... ou du train touristique.

Merci à Vincent pour cette organisation : présidentielle, Christophe pour l'encadrement : présidentiel, les baignades: pr...

Pierre

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Le Chalaux

8-10 mai 2009

Par Vincent D. Photos D'autres photos et vidéos en téléchargement

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Ça a commencé bizarre : Sylvain réserve sans aucune difficulté le gite du Breuil trois jours avant le départ. Jérôme l'avait prédit : « on peut toujours compter sur un désistement ». Il avait vu tout juste, c'est carrément la haute Cure elle-même qui s'est désistée : pas de lâcher d'eau. Reste le Chalaux. Le problème c'est que lâcher nos chaloupes dans le Chalaux, on n'est pas chauds, là. Après 18 mails échangés et autant de coups de fil, on décide de partir quand même, avec un programme aménagé.

Le premier jour on fait la basse Cure. Non, pas la basse Cure que tout le monde connait, la vraie basse Cure, celle qui se trouve 10 km plus bas et qu'on ne fréquente jamais. On apprend ainsi que le passage Montal-Ménéfriers, c'est toujours la haute Cure. Mais comme on n'arrive pas à s'y faire, on décide d'appeler le nouveau passage la « très basse Cure ». Heureusement qu'il n'y en a pas une autre plus bas.

Reste que le passage en question, pour calme qu'il soit (du I, avec un II gentillet), ne manque pas d'intérêt. Les rochers à stops y sont tellement bien rangés qu'on dirait du Corbeil, en beaucoup plus joli. Excellent pour tester le niveau des débutants et pour les mettre en confiance. On termine en faisant joujou avec la veine d'eau de la fin, modèle Corbeil du bas, et on se finit sur des esquimautages inégalement réussis selon les protagonistes.

Le lendemain, ça rigole déjà moins : même sur les hot-dogs, on n'est pas forcément très fiers car il paraît que ça remue quand même. Du coup, on en oublie de relire la première ligne de la check-list concoctée par Papa Gillou, celle qu'il nous a répétée à chacun en insistant bien sur le « vous n'oublierez pas, hein ?  ». Il s'agissait bien évidemment de la pagaie de rechange. Tout le reste était OK, mais pas la pagaie de rechange. Forcément, on l'a perdue dans une chute quelque part dans le passage dit des “400 mètres”. Il a bien fallu que deux d'entre nous aillent en rechercher une autre (d'autres !) à pied. En attendant, super mono Yann nous concocte un programme de travail sur la sécu avec récupération de victime volontairement balancée dans le bouillon. Il faut dire que Yann, c'est un moniteur à maturité variable. Quand il est hors de l'eau, il peut régresser jusqu'aux 12 ans de Yago, voire moins. Mais dans l'eau, c'est le maître qui parle et les élèves qui obéissent sans moufter. Entre les deux, c'est selon.

Finalement, avec les exos de sécu pendant l'attente des pagaies, d'autres exos de sécu à la Perte des Veaux (franchie par Sylvain et Jérôme en hot-dog), on a réussi à mettre 5 heures pour descendre le Chalaux. Ça ira pour la journée.

Le dernier jour, ce sera kayak sur le début du Chalaux, après on verra. On engage la voiture le plus loin possible sur le chemin qui longe la rivière, juste après le passage dit “la piscine à Big”. J'ai bien dit “à Big” et non “à billes” comment on l'entend partout, j'ai vérifié sur Internet. Le nom est très logique, puisque la principale difficulté consiste à éviter un gros rocher placé exactement dans l'axe de la chute, un rocher qui doit s'appeler “Big”, justement.

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Au début, Yann nous fait faire plein d'exos (bacs, reprises, stops, re-bacs, re-reprises, re-stops) jusqu'à ce qu'il nous juge aptes à continuer. Après peut-être un ou deux bains, on arrive enfin à la piscine (normalement, c'est l'inverse). Yann poste deux askistes à la sécu et s'installe sur “ Big” pour repousser d'éventuels maladroits qui iraient se jeter dessus. Résultat : nous avons tous été des maladroits.

Après le repas et un bon moment de grave concertation, nous décidons de continuer. Selon Yann, ce n'est pas beaucoup plus dur qu'avant et nous avons apparemment le niveau. N'empêche, les 400 mètres, ça remue. Et ça mouille aussi, pour Jérôme, Elsa, Sylvain et Emmanuel. Super Yann récupère 4 bateaux à la chaîne. On se remet et on poursuit jusqu'à la Perte des Veaux. Portage des kayaks pour tout le monde jusqu'à Courtibas, l'autre passage pour les cracks. Yann se tape un peu la frime, mais on ne lui en veut pas.

[Tiens, il manque la conclusion ?]

VincenD

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