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Arc de Seine Kayak au triathlon de Paris

22 juin 2008

Par Christophe Photos D'autres photos en téléchargement et le départ vu par l'Equipe Magazine

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Non, ce n'était pas pour participer (ce n'est pas essentiel), mais juste pour assurer un peu d'encadrement et de sécurité sur l'eau pour les nageurs.

Une quinzaine de bateaux étaient là : Gilbert du club de Bonnières, 4 personnes du club de Vauréal, Diane, Johanna, Sylvia, Michel et Yann du CDCK75, avec les bateaux d'ASK, ainsi que Pierre et Christophe pour ASK, et je dois en oublier.

Le départ des épreuves de natation avait lieu sous la passerelle de l'Avre, entre les ponts de Saint-Cloud et de Suresnes. Petit cafouillage le matin pour trouver l'endroit, ça nous a permis d'être dans la voiture pendant l'orage monstrueux. Orage qui s'est arrêté quand on s'est finalement garés.

A part ça, temps superbe toute la journée, ambiance sympathique, et on a vraiment servi à quelque chose : sur l'épreuve “découverte” (traversée de la moitié de la Seine et retour), il y a quand même 4 ou 5 nageurs qui se sont trouvés en difficulté et qu'il a fallu aider en attendant le Zodiac de la Croix-Rouge.

Deuxième course (amateurs, enfin, façon de parler, tout le monde ne le fait pas) un peu chaude : il a fallu pendant une demi-heure canaliser 1200 (!) nageurs, à 15 bateaux, pour les empêcher de franchir la ligne de départ, et on en avait chacun 5 ou 6 accrochés à nos bateaux. Coton pour rester dans le courant. Tous ont fini leurs 1500 m, à part un ou deux, mais la douzaine de derniers étaient visiblement bien contents de se sentir accompagnés. Nous, le vent nous poussait, c'est tout juste s'il ne fallait pas freiner.

Convoyage retour des bateaux, contre le vent et le courant cette fois ; puis direction l'hippodrome de Longchamp pour aller manger, et voir l'arrivée : les premiers (et les premières) ont mis moins de deux heures pour 1500 m de nage, 40 km à vélo, et 10 km de course !

L'après-midi, les athlètes étaient des pros, seulement 70, qui participaient à une séries d'épreuves par équipe, dont Paris n'était qu'une des épreuves. Nous étions moins nombreux (là, tout le monde savait nager), et étions juste là pour couper la route en cas de faux départ.

On a surtout fait des ronds dans l'eau, mais c'est bien agréable, les ronds dans l'eau, et protégé un ou deux obstacles. Et canalisé ces gros frimeurs qui allaient rater le ponton du départ tellement ils étaient occupés à foncer tout droit depuis la rive ! Les nageuses, elles, ont visé juste du premier coup. Les filles, c'est plus fûté. On a aussi viré un gros poisson crevé qui traînait dans la zone de départ.

Bref, ambiance sympa, et on s'est bien amusés, et on a eu un beau sac à dos.

Et Pierre s'est flanqué à l'eau dès le départ en voulant faire un démarrage frime avec un kayak de mer !

Christophe

Retour  Accueil  Haut  Le site du Triahtlon de Paris : http://www.triathlondeparis.fr

Foulées Musicales, Chaville

21 juin 2008

Photos D'autres photos en téléchargement

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7 membres du club ont participé à cette course de 5 km, du parc de Saint-Cloud à la mairie de Chaville : les deux Vincent, Jérôme, Gilles, Pierre, Philippe et Denis, soit environ 10% des participants.

Plus de personnes pour encadrer que pour courir, un peu normal pour une première, on fera des émules l'an prochain.

Tant qu'à se faire remarquer, nos glorieux kayakistes ont couru en tenue : casque, gilet, jupe et pagaie. Le casque, ça tient bien chaud dans les montées, et ça protège du vent dans les cheveux quand on court trop vite. Succès garanti auprès des autres participants.

Circulation entre le parc de Saint-Cloud et la mairie de Chaville interdite aux voitures. La classe !

A la suggestion des quelques spectateurs, Gilles a donné des coups de pagaie pour avancer plus vite. Personne ne m'a communiqué le classement. Vaut mieux ne pas le savoir.

Et après top BBQ chez Philippe, c'est trop bête, vous auriez dû venir.

Vu par Vincent D, maintenant

L'ASK réalise une première ! La remontée du Ru de Marivel entre le Pont de Sèvres et la mairie de Chaville.

Invités pour participer aux "Foulées Musicales" le 21 juin, 7 askistes décident de s'équiper pour la circonstance : jupe, gilet de sauvetage, casque et pagaie. Normal, quoi, on a l'habitude de respecter les consignes de sécurité, non ? Seule incertitude, on ne connaît pas la classe de la rivière. Donc avant de prendre les bateaux, on va voir à quoi ça ressemble.

Arrivés sur le lieu de départ, on voit plein de participants extrêmement laxistes qui n'ont même pas le moindre équipement. Pas grave, on fera la sécurité si nécessaire. Tout le monde part en courant. Drôle d'idée pour une rivière. On suit dans le parc de Saint-Cloud. Il y a bien un bassin, mais apparemment, c'est pas ça.

Et nous voilà partis à courir le long de l'Avenue de l'Europe, et de l'Avenue Roger Salengro, qui monte, qui monte. Acclamations du public et quolibets du genre "La Seine, c'est de l'autre coté". On a bien un doute, mais on continue. Denis et Philippe en tête, puis Vincent D., puis Jérôme, puis Gilles, puis Pierre et Vincent B. On passe l'arrivée tous ensemble (sauf Gilles qu'a pas compris qu'on s'attendait tous), sous les acclamations de la foule en délire.

Après vérification, le Ru de Marivel, c'est l'ancienne rivière qui passe dans la vallée de Chaville à Sèvres. Maintenant, elle passe par un égoût juste sous la chaussée. Pas grave, on l'a fait quand même, à notre façon. C'est du classe moins I : il y avait juste un jet d'eau et des verres pour boire.

Vincent D.

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Fête des Étangs de Ville d'Avray

14 et 15 juin 2008

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Ce samedi et ce dimanche avait lieu la traditionnelle Fête des Étangs de Ville-d'Avray. L'occasion pour nous de permettre à plein de familles, sinon de “découvrir” le canoë-kayak, du moins de faire un petit tour sur l'eau. Moyennant finances hélas, il faut bien vivre.

Une dizaine de membres du club étaient sur le pont, voire sur le ponton, soit samedi, soit dimanche, soit les deux, soit jusqu'au lundi matin (très) tôt. Un merci tout particulier à Gilles et Philippe qui se sont coltiné le transport du ponton vendredi soir, à deux (50 kg chacun). Philippe a d'ailleurs failli y laisser un doigt, et a ramené quelques points de suture. Aux dernières nouvelles, le doigt et Philippe se portent bien.

Ça n'a pas empêché nos deux héros de se lever à 5 heures du matin dimanche pour aller chercher de nouveaux bateaux.

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A part ça, le train-train habituel : temps superbe samedi, quelques ondées dimanche, mais ambiance sympathique. Une demi-douzaine de gamins à l'eau samedi, autant dimanche, c'est l'occasion d'apprendre à vider un bateau sur l'eau.

Sans parler des inévitables canoës pleins d'adolescentes qui échouent au fond de l'étang : “M'sieur, M'sieur, on est fatiguées, vous pouvez pas nous ramener ?”. Nos espions nous ont rapporté que ça marchait beaucoup mieux avec Denis le samedi qu'avec Christophe le dimanche... Semblerait que ça dépende surtout du jour de la semaine, plus que du bonhomme.

J'oubliais : le thème de la fête cette année était “le cirque”, et Gilles s'est chargé, comme à son habitude, de nous fournir les accessoires vestimentaires adaptés. On était tous trop mignons avec nos chapeaux, mais j'ai personnellement flashé sur Jérôme, trop chou avec sa p'tite cravate rose et le chapeau assorti.

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Course de baignoires à l'Isle-Adam

1er juin 2008

Photos

Marek, Aleksandra, Marc et Johanna ont participé le 1er juin à une course de baignoires à l'Isle-Adam, intégrés dans l'équipe du CKVO. Marek ne sent pas assez à l'aise en français pour nous écrire un compte-rendu, mais il a l'air de s'être bien amusé.

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La Cure

24 & 25 mai 2008

Par Gilles Photos

Samedi 24

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RV 7h00 à la base pour Denis, Sylvain, Yann, Vincent D., Olivier, Ariel, Léonard, Gilles.
Départ retardé 8h15 (Olivier en panne de réveil).
Mais, prêts à descendre la Truite dès 11h30 !
Niveau 40 cm seulement au Montal, ça va racler.

1) de la Truite au Montal

Yann, l'impétrant quasi-moniteur du BAC, imprime son tempo sous l'œil respectueux, mais scrutateur, de nos cadors ASK : Denis, Sylvain, Olivier. Penser à garder ses distances, 10 mètres, s'arrêter au coup de sifflet.

La Truite, fidèle à sa réputation, inflige quelques corrections d'assiette cinglantes à Léonard, Ariel, Vincent ; mal réveillés, avec bains bouillonnants gratuits. Quelle idée, aussi, de débuter l'échauffement par la Truite !

Vincent, lessivé à froid (mais échauffé par Yann), jette provisoirement l'éponge et continuera en Berlingo.

2) Du Montal au Vieux Dun

C'est plus calme, mais le niveau bas oblige à corriger sa gîte, dès que les pleureurs (NDLR rochers à fleur d'eau) vous stoppent brutalement et vous soulèvent un bord. Yann s'essaye à jouer dans les remous de la chute de la Duchesse, et se retrouve sans kayak, ni corde (non attachée). Seul Denis tirera son épingle du jeu, à jouer dans ces remous.

3) Les rapides des Îles Ménéfrier

Ils vont semer la zizanie dans l'organisation idéale voulue par Yann. À savoir : stopper avant les difficultés (sans descendre des kayaks), puis laisser Yann passer en premier faire la sécu. Et au coup de sifflet, passer un par un.

Là, un petit flottement : on n'a pas pigé que c'était un passage difficile, on croit que c'est un stop lambda. Donc, sans attendre, on enchaîne le slalom en file indienne, entre les rochers, et on se refait les nœuds de cravate maison.

Le grand Yann, pas content du “gechwbinnze”, rouspète à la ronde. Le métier qui rentre...

Arrivée, vers 17h30, sous une pluie torrentielle.

4) Relâche

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Aïe, on n'a pas monté le camp, ni mangé ce midi. On monte 6 tentes pour 8, le luxe ! On a de la bouffe, des gamelles... mais pas de réchaud. Sylvain nous indique “l'Auberge Ensoleillée”, à Dun, comme étant une bonne adresse (non végétarienne malgré tout).

À nouveau, on est scotchés, après avoir englouti les portions copieuses servies à la campagne. L'ambiance est au top, on cherche en vain la possibilité de faire un “after” à Quarré-les-Tombes (peut-être au vieux cimetière, on n'a pas osé essayer ?).

Rrooonn pchllliii...

Dimanche 25

Réveil 8h30, on constate qu'il vaut mieux être hollandais, pour être servi rapidement au Chalet du Montal...


Au menu :

La Haute Cure

À table :

Yann
Sylvain
Denis
Olivier
Ariel
Gilles

1) Apéritif

Avant même la mise à l'eau des convives, Léonard regrette son abstention sur cette descente, et tente de mettre sur pied une future deuxième descente non prévue.

Yann hésite à refaire un deuxième démarrage en sautant du pont Danas (il y aurait “assez” d'eau, pourtant le niveau est bas).
- Gilles : “Et s'il y a un rocher dans l'eau ?”
- Yann : “Je n'y vois rien. Je me suis déjà fait mal à la colonne vertébrale, une fois.” (À 17 ans, ça promet !)

Rapidement, il renonce (ouf) à son 2ème départ “stylé”, le bon sens monitoral reprenant le dessus (sur l'envie de frimer, il faut bien le dire).

Yann nous propose une autre possibilité beaucoup plus sympa : le toboggan sur la berge depuis la hauteur du pont Danas (2 mètres, avec arrivée perpendiculaire au courant).

2) Entrée : premier seuil

Et c'est parti, premier seuil, première gamelle de Gilles, parti sur la tranche, et plouf.
Ça commence bien.
Oui, mais c'est qu'il faudrait penser à pagayer avant et après le saut, mon gars ! Souviens-toi des conseils du Président Vincent à tes débuts ... On n'est pas en hot-dog, cette fois.

3) Les Sept Taureaux : entrée dans l'arène

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Là, ça rigole moins. On fait un stop lointain, pour descendre voir : c'est du brutal !

Yann explique qu'il faudra raser le gros rocher à gauche. Attention à ses petits copains immergés juste à côté, qui peuvent vous infliger une gîte opposée à celle du grand virage gauche. Après le saut, en sortie de virage à gauche, s'attendre à des rochers immergés.

Ouh là là...

En prime, il faut s'approcher des sept bestiaux en allant gagner un stop, déjà pas trop évident, niché à 10 mètres du courant principal. Là, j'ai ressenti une hyper-motivation, comme jamais, à réussir ce stop. Je n'avais aucune envie de le foirer, et d'être obligé d'enchaîner illico la chute de traviole... On sentait la pression monter dans les carotides.

Les pros étant passés, restaient Ariel et Gilles, avantageusement nantis d'un supplément de flottaison, apparu soudainement, sous la mâchoire (il s'agirait d'un vestige résiduel d'une vessie natatoire, disparue au cours de l'évolution) NDLR Un genre de boule, quoi...

4) Les Sept Taureaux : apporte ta cape, torero !

Coup de sifflet de Yann, c'est parti !

Ouahh,
pagayer, pagayer,
se tasser en avant, pousser sur ses pieds, cramponner sa pagaie.
Oohh, zut, trop au milieu !
Boum, écran d'eau (une seconde),
pagayer à fond, pagayer à fond...

“Ouais, super, t'es bien passé !” (Yann) BOMBAGE DE TORSE : mon 1er Sept Taureaux !

Coup de sifflet : Ariel tout bon, mais les roches immergées en sortie de virage, et... plouf.

5) Au Gouloux : jusqu'à la lie

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100 mètres plus loin, encore un stop musclé, peu visible d'avance. Ici, moins de dénivelé mais plus de technique, à cause du virage à 90°, à faire en plein rappel. “Si vous ne le sentez pas, ne le faites pas.” Ah bon ?

Tous les autres sont passés haut la pagaie. Sifflet, oui, c'est à moi ? On me demande ? J'arrive...

Après le saut : pagayer un max. et circulaire gauche pour se mettre dans l'axe. Mais c'est qu'il est bien passé ?!?

BOMBEMENT DE TORSE : mon 1er Gouloux !

6) Dessert : Ça plane pour moi !

Alors là une sorte de bien-être t'envahit, tu n'as aucune envie de recommencer (désolé Léonard) au risque de briser cet instant onirique...

La sécu ayant pris du temps, la fatigue venant, et Vincent ayant retrouvé la pêche ; on décide de redescendre, après manger, sur les parties plus calmes.

Départ de la Truite ou du Montal, pour les chauffeurs.

7) Le retour du Jedi

Super, Vincent (le Jedi) retrouve ses marques et sa rage, Léonard, enragé aussi, commence à fatiguer, les autres ont aussi perdu en fraîcheur. Olivier recommence à jouer dans les remous de la chute, et plouf, plus de kayak ni de casque (mal attaché).

Les rapides du Ménéfrier sont descendus en marche arrière par Yann !

Il est assez inquiet, vu la première descente d'hier tumultueuse, et, dit-il, prend le risque de passer en marche arrière.

À raison, car une fois de plus, ces rapides cravatent à la pelle et rétament nombre de valeureux ASKistes, qui sont instantanément secourus par Yann.

Peut-être qu'un rétroviseur, sur le casque ou la pagaie, ferait l'affaire.

Arrivée tardive, 19h00 aux voitures.
Sèvres 22H45, encore des bouchons à Evry.

Conclusion

Personnellement, je pense que d'avoir enchaîné, en 2 semaines consécutives, le Chalaux en hot-dog, puis la Haute-Cure en kayak, m'a grandement facilité l'envie de faire les seuils de la Cure.

Ils sont relativement moins impressionnants, mais je les avais shuntés l'année dernière, en stage “Sécurité en eaux-vives”.

J'aimerais bien renouveler l'expérience sortie mixte hot-dog / kayak, mais sur la Cure (avec un niveau d'eau de 50 cm). Ceci, afin de faire découvrir la Cure aux nouveaux adhérents. Corbeil est indispensable, mais n'a aucun charme.

La Cure en hot-dog peut booster l'envie de dépasser le stade des sorties à Corbeil et leurs dessalages rébarbatifs, et donner l'envie de s'accrocher...

Bien sûr, une initiation sécurité en eaux vives préalable, le matin même, sur la Cure serait obligatoire.

A mon avis:
Haute-Cure → hot-dog “débutants”et kayakistes “confirmés”
Truite → kayakistes “confirmés” seulement
Montal au Vieux Dun → kayakistes “débutants” et “confirmés”
Montal aux Iles Ménéfrier → Hot-dog “débutants” et kayakistes “confirmés”

Gilles

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La Cure (la même)

24 & 25 mai 2008

Racontée par Vincent D., cette fois.

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Rendez-vous samedi à 7 heures, départ à 7 heures trente qu'il a dit Denis. Pourquoi faut-il que nous prenions un café dans le foyer du BAC ? À cause de la panne de réveil d'Olivier, ou parce que c'est un point d'honneur de partir toujours avec au minimum 1/2 heure de retard sur l'horaire prévu ?

Pas grave, avec le cat-cat hyperpuissant de Gilles et même pas de remorque pour le vénérable Berlingo, on a rattrapé le retard. Gilles s'est bien un peu disputé avec son GPS, on est quand même arrivé à temps.

Départ d'entrée de jeu sur la Truite. Votre serviteur, qu'a fait qu'une fois le Montal-le Vieux Dun jadis, et sans gloire, est pas fier du tout. Mais alors pas du tout. Un bain et toute la réserve d'adrénaline gaspillée d'un coup, je déclare forfait pour la suite sur la Basse Cure. Tant pis, j'amènerai la voiture à l'arrivée. Il me semble qu'il y a eu un autre bain. En tout cas, Yann était furax d'avoir prévu trop juste, question combi, pour ses gambettes : il ne pensait pas devoir pêcher des débutants. Demain, il pensera à mettre le bas.

Arrivée aux Îles Ménéfrier sous un orage nourri. Heureusement, la pluie nous ménage une vague accalmie pour le plantage des tentes : 6 pour 8, les “vieux” auront droit à la chambre individuelle. Repas à l'auberge “ensoleillée” : vive la tête de veau-vinaigrette.

Dimanche, c'est la Haute Cure. Je peux pas raconter, je gardais le gamin (Léonard), un peu jeune pour ces jeux de grands. Il fallait bien que je lui fasse réviser son cours de 4ème, non ? On va plutôt dire que j'étais plus au niveau pour faire la navette et les photos. Ci-joint des photos du départ, des 7 Taureaux et du Gouloux, quand le webmestre aura rattrapé son retard.

Après le pique-nique au Soumaintrain (le maroille local) et au pâté d'orties de Sylvain, Basse Cure. Tranquille pour les uns, un peu plus agité (à-gîter) pour d'autres, surtout vers la fin.

Reste à élire le bain le plus stupide.

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Je propose, au choix :

- Yann qui fait le cake acroché à une corde sous le pont, se vautre alors qu'il venait de confier sa pagaie.
- Olivier qui passe un seuil en travers en rigolant, se vautre, veut esquimauter, perd son casque, ses moyens, son bateau et sa pagaie.
- Gilles, qui veut sortir de son bateau, fait un faux mouvement, et le remplit d'un coup. NDLR Marrant, je n'ai rien vu dans le compte-rendu ci-dessus...
- Léonard qui se cravate, juste parce qu'il surveillait votre serviteur, cravaté lui aussi.

Il y en sûrement eu d'autres, mais j'étais pas là. La prochaine fois, ç'est sûr, je tâcherai de ne pas les rater.

Vincent D

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